28 janv. 2014

Electroculture & Magnetoculture

La stimulation de l'électricité et du magnétisme naturelle 
pour fertiliser les sols et protéger les cultures.

Picture

Photo à droite : Tournesols géants en pleine croissance en été 2009 dans un jardin équipé d' électroculture avec des antennes magnétiques à la cire d'abeille conçues cette même année pour l'expérience par Yannick Van Doorne. Ceci sans engrais, ni traitements autre que le soin attentionné des plantes et l'electroculture. Photo provenant d'un arrêt image du documentaire traitant sur les techniques agricoles alternatives.Petite histoire personnelle :

L'année 2009 a été l'année ou j'ai expérimenté une nouvelle technique d'electroculture sur un champ de un hectare. Jusque la j'avais fait quelques essais positifs et discrètement depuis quelques années au potager ou j'avais réussi à doubler la récolte d'une production d'onions avec une ancienne technique de Justin Christofleau.

Au printemps 2012, j'ai déjà pu installer des dizaines d'hectares avec les techniques d'electroculture, plus de 25 hectares au Canada, plusieurs hectares en France, en Belgique et en Suisse. Bientôt de nouvelles installations seront opérationnelles en Afrique et en Asie. Pendant ce temps la, en France l'application de l'électroculture par les agriculteurs reste à la traine. Les freins principaux à l'action en France sont les préjugés, le criticisme exacerbé, l'ignorance généralisé, la peur de rater et de se faire remarquer, qui empêchent beaucoup d'agriculteurs à innover.

Depuis ces premières installations, les réussites se succèdent. Plusieurs hectares sont installées en plus chaque année. Les résultats augmentent et se confirment sur les installations du début d'année et en année.
Bien que c'est ici en France que de nombreuses techniques d'électroculture ont été inventés, c'est souvent à l'étranger que ces inventions sont plus reconnues et appliqués. Il y a des exceptions en France, comme la région de Bretagne et de l'Alsace, peut-être leur ouverture d'esprit, par leur histoire très ancrée "druidique" et "mégalithique", les innovations et la volonté propre aide au développement des techniques d'electroculture.
Quelques techniques nouvelles, 
appareils et produits pour l'electroculture

Liste incomplète. Pour plus d'informations, contactez Yannick Van Doorne au 06 88 08 68 94 ou email : yannickvd11@yahoo.fr
Je peux vous fournir le matériel, faire ou aider à l'installation ou vous renseigner par les formations et conférences sur toutes ces techniques :
  1. Antennes magnétiques à la cire d'abeilles. Technique de magnetoculture.
  2. Fertilisateur électromagnétique de type Christofleau
  3. Tours paramagnétique de fertilisation : émetteur-récepteur d'ondes radiofréquences naturelles tel les ondes schuman
  4. Fertilisateur solaire, petit panneau solaire de stimulation électrique du sol
  5. Antennes générateur d'onde schumann
  6. Dynamiseur de semences électronique.
  7. Appareil electroflash de transfert électromagnétique de l'information d'un produit ou fertilisant, sur le champ ou sur l'eau de pulvérisation.
  8. Dynamiseur d'eau de type Marcel Violet.
  9. Appareil de traitement de l'eau d'irrigation ou de pulvérisation,  par un système passif pointu.  Energétisation de l'eau. Evite l'entartrage. Evite l'aspyxie des sols. Améliore la disponibilité et l'absorptions des fertilisants. Augmente l'enracinement et la croissance. 
  10. Agnihotra : techniques ayurvédiques simples et efficaces qui ont inspirées les techniques de biodynamie.
  11. Pyramides pour dynamiser les semences, pour la jardin, pour construire une serre en pyramide. Pyramides en kits. 
  12. Aimants de différentes tailles pour l'electroculture
  13. Antennes atmosphériques de type Paulin, Géomagnétifère ou l' électrovégétomètre.
  14. Appareil Lee Crock d'electroculture
  15. Générateur d'ondes scalaires composé d'aimants pour soigner et accélérer la croissance des plantes
  16. Antenne en forme de coquille d'escargots modifiées pour poser aux pieds des plantes
  17. Circuits anneaux Lakhovsky pour plantes et arbres.
  18. Applications de fréquences sonores, de musique et plantes : www.musiquesplantes.com

Que peut on faire dans son jardin, un technique simple et bon marché? 

L'electroculture est un sujet vaste. Il y a des dizaines de techniques différentes et souvent complémentaires. Ceci n'est qu'un début dans le nouvel essort de l'electroculture.
Une questions qu'on me pose souvent,
Que peut-on faire dans son jardin pour expérimenter l' electroculture avec des matériaux de récupération, pour que cela ne revienne pas chère tout ayant des chances pour obtenir de bons résultats ?
Pour en apprendre encore plus, avec tout mes conseils, astuces et retour d'expériences, venez aux conférences et formations.
Ci-dessous : Article "Devenir un jardinier branché, en continu ou en alternatif?" :-) du Wolvendael magazine, Belgique, été 2013.


Biophysique quantique

Nous avons plusieurs fois mentionné sur le site Automates Intelligents les hypothèses selon lesquels des mécanismes fondamentaux du monde vivant ne se produiraient pas sans l'intervention de phénomènes quantiques. Ceux-ci, par leurs propriétés fondamentales (superposition d'état, non localité notamment) rempliraient dans le vivant des rôles essentiels, que les atomes et molécules du monde dit macroscopique ne pourraient pas assurer.

Phénomènes quantiques dans les organismes vivants
Jean-Paul Baquiast 19/01/2014
JPEG - 51.7 ko
Microtubules reconnues par des anticorps anti-tubuline fluorescents (verts) dans une cellule eucaryote
On a souvent dit que le milieu biologique, chaud et humide, ne pouvait permettre aux particules quantiques de conserver leur « cohérence » c'est-à-dire de ne pas devenir des particules comme les autres au contact de la matière ordinaire. Mais un nombre croissant d'expériences confirment qu'il n'en est rien. La biologie quantique paraît une réalité dont aujourd'hui encore on n'étudierait qu'un nombre limité d'exemples.

Deux série d'expériences, ayant fait l'objet de publications, illustre cette constatation. Elles ne concernent pas des phénomènes nouveaux, car les domaines en cause avaient été évoqués depuis quelques années. Il s'agit de la fonction chlorophyllienne dans les cellules végétales et des vibrations se produisant à l'intérieur des microtubules des neurones cervicaux, susceptible de jouer un rôle dans la production de la conscience. Ce sont les mécanismes quantiques supposés les produire qui se précisent aujourd'hui.

La fonction chlorophyllienne

Les processus grâce auxquels les cellules végétales recueillent et utilisent la lumière afin de fabriquer les molécules de la chimie organique dont elles ont besoin semblent n'avoir pas d'équivalents dans la physique classique. Les macromolécules qui jouent ce rôle sont composées de chromophores (responsables de la couleur verte) attachés aux protéines de la cellule et constituant le premier stade de la photosynthèse. Elles capturent les photons de la lumière solaire et transfèrent l'énergie associée vers le reste de la cellule.

Aujourd'hui des chercheurs de l'University Collège London pensent avoir identifié des processus quantiques assurant l'efficacité de cette fonction, dont il n'existerait pas d'équivalents dans la physique classique. Selon leurs observations, les vibrations des chromophores responsables du transfert d'énergie ne pourraient pas se produire classiquement. Leur efficacité dépendrait de mécanismes quantiques.
Les vibrations moléculaires résultent de mouvements périodiques des atomes dans une molécule. Quand deux chromophores vibrent à l'unisson, une résonance apparaît et des échanges efficaces d'énergie peuvent se produire. Dans certaines conditions que nous ne décrirons pas ici, des unités discrètes d'énergie, autrement dit des unités quantiques, sont échangées. Ceci en un très court temps (inférieur à la pico-seconde) et à température ambiante.
Mais ne s'agit-il pas de processus de la physique classique ? . Les chercheurs montrent qu'il n'en est rien. En physique classique les probabilités de trouver les chromophores dans certaines positions et impulsions seraient positives, autrement dit il serait possible de prévoir ces positions et impulsions. Or l'expérience montre que ceci n'est pas possible. Les chromophores ne peuvent être identifiés en position et impulsion que d'une façon probabiliste, autrement dit collective, ce qui rend impossibles les prédictions individuelles. Il s'agit donc bien d'un mécanisme quantique, correspondant à l'échange cohérent d'un quantum d'énergie. Une superposition d'états quantiques, non prédictible en physique classique, s'établit entre excitations et transfert de charge à l'intérieur du chromophore.

D'autres processus quantiques proches ont été identifiés. Nous nous bornerons à les évoquer. Il s'agit des changements structurels qu'enregistrent les chromophores associés à la vision lors de l'absorption de photons ou de la reconnaissance d'une protéine par une autre lors de l'olfaction. Pour explorer plus en profondeur ces phénomènes indispensables au fonctionnement des organismes supérieurs, il faudrait examiner les dynamiques vibratoires associées. Elles constituent clairement, selon les chercheurs, des phénomène non-classique, c'est-à-dire relevant de la physique quantique. Les théories proposées sont très complexes et ne peuvent être présentées et moins encore discutées ici. On se bornera à retenir la conclusion générale qui s'en dégage : les organismes biologiques trouvent leurs origines dans la physique quantique. Ceci pourrait contribuer à l'idée que la vie serait universelle dans l'univers, car cette physique n'est pas associée nécessairement aux conditions observées sur la Terre par des organismes comme les nôtres, qui se sont développées en exploitant les propriétés déterministes de la physique macroscopique. Elle pourrait dominer dans d'autres planètes.
Résumé de l'article publié par Nature Communications 

Advancing the debate on quantum effects in light-initiated reactions in biology requires clear identification of non-classical features that these processes can exhibit and utilize. Here we show that in prototype dimers present in a variety of photosynthetic antennae, efficient vibration-assisted energy transfer in the sub-picosecond timescale and at room temperature can manifest and benefit from non-classical fluctuations of collective pigment motions. Non-classicality of initially thermalized vibrations is induced via coherent exciton–vibration interactions and is unambiguously indicated by negativities in the phase–space quasi-probability distribution of the effective collective mode coupled to the electronic dynamics. These quantum effects can be prompted upon incoherent input of excitation. Our results therefore suggest that investigation of the non-classical properties of vibrational motions assisting excitation and charge transport, photoreception and chemical sensing processes could be a touchstone for revealing a role for non-trivial quantum phenomena in biology.

Reference :
Edward J. O’Reilly, Alexandra Olaya-Castro, Non-classicality of the molecular vibrations assisting exciton energy transfer at room temperature, Nature Communications, 
2014, DOI : 10.1038/ncomms4012 (open access)

Le rôle dans la production de la conscience des phénomènes quantiques supposés s'exercer au niveau des microtubules neuronales


Stuart Hameroff et (Sir) Roger Penrose avaient présenté il y a une vingtaine d'années l'hypothèse selon laquelle la production des faits de conscience, dont la nature et l'origine demeurent largement encore inconnues, dérivaient d'activités se produisant aux niveaux profonds des neurones cervicaux. Seraient impliqués les microtubules. Celles-ci sont des fibres constitutives du cytosquelette ou « squelette des cellules » au même titre que d'autres filaments.

Or, dans la ligne de la découverte des vibrations quantiques dans les chromophores (dont sont évidemment dépourvus les neurones), des chercheurs japonais suivis par d'autres ont conclu que des phénomènes voisins se produisaient au niveau des microtubules neuronales. Ainsi se trouverait confortée l'hypothèse initiale de Hameroff et Penrose. Celle-ci était demeurée très contestée – d'autant plus que l'anesthésiologiste Stuart Hameroff s'était engagé ensuite dans des considérations considérées comme douteuses sur la vie après la mort.

Les auteurs de l'article référencé ci-dessous suggèrent que les ondes du cerveau identifiées depuis longtemps par les technique d'électro-encéphalographie dérivent de vibrations profondes au niveau des microtubules. L'origine de ces ondes était restée jusqu'ici non élucidée. Hameroff et Penrose avaient à l'époque suggérée que des phénomènes vibratoires au sein des tubulines modifiaient les réactions du neurone ainsi que celles des synapses. Ils participaient de ce fait à un grand nombre d'activités neurologiques, dont celles relatives à ce que l'on nomme la conscience chez l'homme et les animaux supérieurs. Mais Hameroff et Penrose n'avaient pu le prouver.

Roger Penrose vient, avec d'autres collègues, de reprendre ses hypothèses initiales à la lumière des phénomènes vibratoires quantiques mentionnés dans la première partie de cet article et se produisant dans diverses cellules, végétales et animales. D'autres chercheurs, dans le même esprit, suggèrent que l'anesthésie, qui fait disparaître la conscience, sans paralyser le reste des activité cérébrales, modifie également l'activité des microtubules.

Dès que l'on parle conscience, les esprits spiritualistes et religieux s'agitent, notamment aux Etats-Unis. La conscience ne serait-elle pas un don conféré par Dieu aux humains. Au contraire, selon l'hypothèse matérialiste, elle aurait émergé progressivement dans les cerveaux du fait de computations se complexifiant progressivement au fil de l'évolution. Pour Hameroff et Penrose, aujourd'hui, il parait clair que des vibrations quantiques dans les microtubules interviennent directement dans les fonctions neuronales et synaptiques. Elles connectent ainsi le cerveau aux processus auto-organisateurs pré-conscients qui constitueraient en profondeur la réalité quantique.

Les théistes pourront toujours suggérer, comme habituellement dans ces matières, que c'est en fait Dieu et non l'évolution qui a mis au point chez l'homme les processus générateurs de la conscience. Mais les scientifiques éviteront ces incursions métaphysiques. Ils ont devant eux suffisamment de travail pour étudier en finesse ce en quoi consistent effectivement les vibrations quantiques au sein des cellules. Il leur faut dorénavant montrer en effet qu'il ne s'agit pas d'une explication facile analogue – puisque nous avons évoqué l'anesthésie – à la " vertu dormitive" de l'opium ” .

Penrose, Hameroff et Bandyopadhyay ont exploré leurs hypothèses lors d'une session intitulée“
Microtubules and the Big Consciousness Debate” lors d'un colloque de 3 jours organisé à Amesterdam les 16-18 janvier 2014 . Nous pourrons en reparler
(voir 
http://www.brakkegrond.nl/programma/1253/Penrose_Bandyopadhyay_Hameroff/
Lezing_Microtubuli_het_grote_debat_over_het_bewustzijn/#eng 
)
Résumé de l'article Consciousness in the universe : A review of the ‘Orch OR’ theory
The nature of consciousness, the mechanism by which it occurs in the brain, and its ultimate place in the universe are unknown. We proposed in the mid 1990's that consciousness depends on biologically ‘orchestrated’ coherent quantum processes in collections of microtubules within brain neurons, that these quantum processes correlate with, and regulate, neuronal synaptic and membrane activity, and that the continuous Schrödinger evolution of each such process terminates in accordance with the specific Diósi–Penrose (DP) scheme of ‘objective reduction’ (‘OR’) of the quantum state. This orchestrated OR activity (‘Orch OR’) is taken to result in moments of conscious awareness and/or choice. The DP form of OR is related to the fundamentals of quantum mechanics and space–time geometry, so Orch OR suggests that there is a connection between the brain's biomolecular processes and the basic structure of the universe. Here we review Orch OR in light of criticisms and developments in quantum biology, neuroscience, physics and cosmology. We also introduce a novel suggestion of ‘beat frequencies’ of faster microtubule vibrations as a possible source of the observed electro-encephalographic (‘EEG’) correlates of consciousness. We conclude that consciousness plays an intrinsic role in the universe.Références :
* Stuart Hameroff and Roger Penrose, Consciousness in the universe :
A review of the ‘Orch OR’ theory, Physics of Life Reviews, Aug. 20, 2013 
*Microtubules 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Microtubule


De la biologie quantique dans la photosynthèse ?

C’est un fait bien établi que l’existence des atomes, des molécules et des liaisons chimiques ne sont pas compréhensibles en dehors des lois de la mécanique quantique. En ce sens, la physique et la chimie d’un bloc de métal ou d’une cellule sont quantiques. Mais on sait bien que le comportement de ces objets ne manifeste pas directement la nature quantique de la matière, ils font partie du monde de la physique classique. Cependant, certains phénomènes comme lasupraconductivité ou la superfluidité débordent du domaine quantique d’ordinaire réservé à la microphysique pour entrer dans le monde à notre échelle.
Lorsque la nécessité de la physique quantique s’est révélée aux physiciens explorant la matière et la lumière, ce fut essentiellement avec deux phénomènes qui semblaient au départ être de simplesanomalies bien localisées dans l’univers de la physique classique : le rayonnement du corps noir et l’effet photoélectrique. Nous savons aujourd’hui qu’ils étaient la pointe émergée du monde quantique et que, fondamentalement, le réel est fort différent de la vision du monde bâtie par les fondateurs de la science classique comme GaliléeDescartes et Newton.
Erwin Schrödinger n'a pas été qu'un des pères fondateurs de la physique quantique. Ses réflexions sur les contraintes que la physique impose aux cellules vivantes et à l'hérédité ont influencé les découvreurs de la structure de l'ADN. Il ne serait sans doute pas surpris par les travaux laissant soupçonner l'existence d'une véritable biologie quantique.
Erwin Schrödinger n'a pas été qu'un des pères fondateurs de la physique quantique. Ses réflexions sur les contraintes que la physique impose aux cellules vivantes et à l'hérédité ont influencé les découvreurs de la structure de l'ADN. Il ne serait sans doute pas surpris par les travaux laissant soupçonner l'existence d'une véritable biologie quantique. © Fondation Nobel

La biologie quantique pour expliquer la photosynthèse

De nos jours, les biologistes qui réfléchissent sur le fonctionnement des cellules, de l’ADN ou desneurones considèrent que ces objets sont majoritairement décrits par les lois de la physique classique. Il n’est pas nécessaire d’utiliser l’équation de Schrödinger ou les amplitudes de probabilités qu’elle gouverne pour comprendre l’origine de la vie, les mutations, l’évolution ou l’apparition de la conscience dans un cerveau. Pourtant, ces dernières années, quelques résultats expérimentaux en biologie, notamment sur la photosynthèse, semblaient défier les lois de la physique classique.
Il était et il est encore bien trop tôt pour savoir si la photosynthèse finira par être, pour une éventuelle biologie quantique, ce que le rayonnement du corps noir a été pour la physique quantique. Toutefois, Alexandra Olaya-Castro et Edward O’Reilly, des chercheurs du célèbreUniversity College de Londres, viennent de publier dans Nature Communications un article, également disponible en accès libre sur arxiv, dans lequel ils affirment que des macromoléculesbiologiques utilisent bel et bien des processus quantiques pour effectuer de la photosynthèse. Jusqu’à présent, le doute planait sur l’inadéquation des processus classiques pour décrire le comportement de chromophores attachés à des protéines qu’utilisent les cellules végétales pour capter et transporter l’énergie lumineuse.
Selon les deux physiciens, certains des états de vibrations moléculaires des chromophores facilitent le transfert d’énergie lors du processus de photosynthèse et contribuent à son efficacité. Ainsi, lorsque deux chromophores vibrent, il arrive que certaines énergies associées à ces vibrations collectives des deux molécules soient telles qu’elles correspondent à des transitions entre deux niveaux d’énergie électronique des molécules. Un phénomène de résonance se produit et un transfert d’énergie en découle entre les deux chromophores.

Distributions de probabilités quantiques négatives

Or, si le processus était purement classique, les mouvements et les positions des atomes dans les chromophores seraient toujours décrits par des distributions de probabilités positives. Alexandra Olaya-Castro et Edward O’Reilly ont découvert qu’il fallait employer des distributions négatives. C’est une signature indiscutable de l’occurrence de processus quantiques. Mieux, il s’agit dans le cas présent de la manifestation d’une superposition d’états quantiques à température ambiante assistant un transfert cohérent d’énergie.
On retrouve ces vibrations collectives de macromolécules dans d’autres processus biologiques comme le transfert d’électrons dans les centres de réaction des systèmes photosynthétiques, le changement de structure d'un chromophore lors de l'absorption de photons (comme dans les phénomènes associés à la vision). Selon les chercheurs, il est donc plausible que des phénomènes quantiques assistant des processus biologiques que l’on croyait classiques soient assez répandus. Si tel est le cas, on peut s’attendre à découvrir d’autres manifestations hautement non triviales de la mécanique quantique en biologie.
Cela n’aurait certainement pas surpris Werner Heisenberg, et encore moins Niels Bohr qui, il y a déjà plus de 60 ans, prédisaient que l’on pourrait bien rencontrer des limites de la physique classique avec les systèmes vivants.

ELECTROMAGNETIQUE PLANTES ET ANIMAUX

MODIFICATIONS GENETIQUES DES PLANTES ET DES ANIMAUX PAR TRANSFERT ÉLECTROMAGNÉTIQUE

Tachyon-image013
Par la suite ou indépendamment, d'autres chercheurs ont effectué le même genre d'expérimentation avec des appareillages différents. Leurs préoccupations sont principalement de trouver des moyens de guérison.
C'est en utilisant un laser à rayon rouge qu'un chercheur russe, V. Budakovski, a effectué 160 études sur des organismes divers, depuis la bactérie jusqu'aux humains en passant par les batraciens. Son taux de réussite de guérison est de 64%. Il guérit des framboisiers atteints de callosités (cellules cancéreuses) en projetant un hologramme portant l'information de la plante saine. La guérison se produit en quelques mois. Il projette aussi des informations d'œufs de grenouilles sur des œufs de salamandres, de sorte qu'ils donnent naissance à des grenouilles.
Notons que ces expériences ont eu lieu seulement avec de la lumière, sans aucune chirurgie ni recombinaison chimique d'ADN.
P. Gariaev et son équipe ont eux aussi réalisé des expérimentations analogues en utilisant un laserqui projette deux ondes lumineuses polarisées perpendiculairement, donc sans interférences entre elles (bio-ordinateur). Ces ondes traversent le tissu semi-transparent de l'organisme donneur, par des allers et retours répétés, et elles sont modulées par l'hologramme génétique. La modulation est transformée en signal radio (0,5 MHz à 1,5 MHz) selon une spectroscopie nouvelle appeléeSpectroscopie par ondes Laser et Radio Polarisées (PLRS), elle est enregistrée sur ordinateur, puis transmise à un tissu receveur.
Ce protocole appliqué à des pommes de terre leur a conféré une croissance ultra-rapide et a fait apparaitre des modifications morphologiques sur leurs tiges.
Remarque sur la pensée: Certaines personnes ont la possibilité d'obtenir directement ce même genre de phénomène en concentrant leur pensée et leur sentiment, en parlant aux plantes, sans aucun appareillage. La connaissance par modification de conscience est plus directe que la connaissance scientifique et semble donner accès à d'autres processus. Elle est plus simple, mais se révèle à ceux et celles qui se dégagent des jeux de l'égo (voir Spiritualité et développement). La connaissance scientifique progresse à son rythme, avec de grands moyens techniques. Elle permet de mettre au point de nouveaux appareillages. Sa compréhension est réservée à ceux et celles qui ont suffisamment étudié.
Par ce même procédé, les chercheurs ont eu la possibilité de redonner vie à des graines d'Arabette des dames (Arabidopsis thaliana), tuées par radioactivité dans la région de Chernobyl en 1987. Ils les ont illuminées par l'hologramme de graines saines. Alternativement, ils n'ont obtenu aucun effet sur les graines si l'onde radio ne transportait pas cette information.

Fleur d'arabette des dames ou arabidopsis thaliana
Merci à l'Association d'Informatique Appliquée à la Botanique
Taux de survie des rats à l'injection d'alloxane après un traitement aux ondes polarisées
Groupe 1: Pas de traitement holographique, injection un jour après la dernière irradiation laser. Groupe 2: traitement à 20 m de la source, injection un mois après la dernière irradiation laser. Groupe 3: traitement à 70 cm de la source, injection un jour après la dernière irradiation laser. Groupe 4: irradiation au laser sans l'information génétique à 70 cm de la source, injection un jour après la dernière irradiation laser
L'équipe de Gariaev a mené des expériences capitales de guérison sur des rats dont ils ont détruit lepancréas avec une drogue (alloxane). Par le laser, ils ont illuminé les rats avec l'information holographique d'un pancréas parfaitement sain, prélevé sur un autre rat nouveau-né. Lorsque l'exposition au laser était suffisante, leur pancréas s'est reconstitué complètement et les rats se sont régénérés. Dans un lot témoin qui n'a pas reçu ce traitement, les rats sont tous morts. Les cellules se reconstituent à partir de cellules souches qui évoluent en cellules pancréatiques.
Dans une autre série d'expériences, ils ont d'abord illuminé les rats par holographie pour leur conférer un plus grand pouvoir de résistance, à titre de prévention. Puis ils les ont soumis à des injections d'alloxane et ont mesuré leur résistance (voir tableau ci-dessus). Les résultats montre qu'elle a augmenté de manière décisive.

Guérisons possibles de maladies chez les êtres humains, y compris le SIDA

Après son expérience sur les poussins, le chinois Dzang Kangeng a montré que son procédé donnait la possibilité de transférer des informations de guérison et de rajeunissement à un humain. Une expérience a été menée en 1987 sur son père agé de 80 ans. Les résultats ont été positifs: A la suite du traitement, les maladies chroniques qui le tenaillaient depuis 20 à 30 ans ont disparu, de même que l'allergie cutanée, le bourdonnement d'oreille (acouphène) et la tumeur bénigne; six mois plus tard, des cheveux ont repoussé à l'endroit de la calvitie et les cheveux gris sont redevenus noirs. Un an après l'expérience, une dent a repoussé sur l'emplacement de celle arrachée 20 ans plus tôt. Il en a tiré un brevet.
Le procédé de P. Gariaev offre des possibilités analogues: Il est possible d'offrir les perspectives suivantes concernant la manipulation de signaux avec des structures génétiques: La mise en œuvre d'une surveillance à distance de processus d'information clé dans les bio-systèmes au moyen de tels bio-ordinateurs, ayant pour application des traitements contre le cancer, le SIDA, les malformations génétiques, le contrôle sur des processus socio-génétiques et, finalement, l'allongement de la vie humaine... La protection active contre les effets d'ondes destructrices, grâce aux détecteurs de canaux d'information d'onde. (Extrait de L'onde bio-numérique)
En ce qui concerne le SIDA et son virus associé, le VIH, Peter Gariaev, George Tertishny et Katherine Leonova (2002) affirment qu'on devrait pouvoir supprimer la fabrication des protéines virales par le VIH (virus du SIDA) en envoyant les codes des cellules saines. On peut donc envoyer des "vaccins" électromagnétiques contre les virus VIH, ainsi que d'autres virus.
C'est l'origine de l'idée qu'une stratégie avec une approche essentiellement nouvelle du traitement du VIH et du cancer suppose la compréhension et la possibilité de gérer la logique d'un génome multi-vectoriel... Si nous connaissons les principes de fonctionnement du ribosome dans un mode contextuel, alors nous pouvons lutter avec succès contre le VIH dans la zone de régulation des ondes ribosomales (laser, solitonique, polarisation et ondes radio). Les ribosomes, qui synthétisent les protéines du VIH, doivent avoir des vecteurs d'onde fins pour leur gestion à travers les voies du contexte d'arrière-plan. Si on les connait, il est possible de supprimer la synthèse des protéines virales par des champs extérieurs artificiels modifiés analogues à ceux des cellules normales... De façon similaire à ce qu'a trouvé la Nature, il deviendra possible de concevoir un vaccin ondulatoire simple contre le VIH, d'autres virus et des bactéries.
Le procédé a été appliqué en 2011 avec succès à une petite fille de 2 ans atteinte de fibrose kystique avec dégradation du foie et du pancréas, grâce à un hologramme provenant de sa cousine saine (voirtémoignage de la mère de la malade, une chirurgienne réputée, et de P. Gariaev).